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DMLA : l’intérêt d’un test quantitatif de sensibilité aux contrastes

L’étude publiée en novembre par cette équipe de Boston visait à corréler les résultats d’un test fonctionnel, la sensibilité aux contrastes (qCSF), avec l’imagerie, i.e. les marqueurs OCT d’évolutivité de la DMLA intermédiaire.

Pour mémoire, le terme américain de “DMLA intermédiaire” correspond à une maculopathie liée à l’âge à un stade critique, comportant des drusen séreux (> 125 µm) et/ou des migrations pigmentaires maculaires [1]. Les résultats de l’étude suggèrent que la qCSF peut être corrélée avec le risque de progression de la DMLA intermédiaire vers l’atrophie géographique ou la DMLA néovasculaire.

Patrimoine
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Compte tenu de l’envolée des différents prélèvements obligatoires, vous vous interrogez sur les solutions permettant de réduire vos impôts en 2013. Que faut-il penser de la nouvelle loi ?
La loi Duflot doit s’appliquer du 1/1/2013 au 31/12/2016. Comme la précédente loi Scellier, elle concerne les logements acquis en direct ou dans le cadre d’une société civile immobilière et les parts de SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) souscrites pour financer des logements éligibles.

Cataracte
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Comment évoquer l’année 2013 sans évoquer Joseph Colin qui a illuminé de son éternel sourire l’ophtalmologie française ? Il fut, entre autres, président de la SAFIR en 2009. Energétique, énergisant, innovateur, leader, visionnaire, il nous laisse un souvenir marquant et demeurera un exemple d’abnégation et de dévouement à l’ophtalmologie. Nous pensons à sa famille.

L’Année ophtalmologique 2012
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Depuis l’avènement des techniques de chirurgies photoablatives au laser Excimer dominées par le Laser assisted in-situ keratomileusis (Lasik) et la Photo-Kératectomie à visée réfractive (PKR), la chirurgie réfractive n’a pas connu de révolution mais une succession d’évolutions. La myopie, cible initiale de ces techniques introduites il y a un peu plus de 20 ans, représente toujours leur principale indication. Les suites opératoires indolores et l’élargissement des indications procurées par le Lasik vis-à-vis de la PKR avaient de quoi rendre cette dernière peu attractive, voire obsolète comme la kératotomie radiaire. Pourtant, la PKR demeure toujours en 2013 une technique de choix pour les myopies faibles et moyennes, même pour les chirurgiens rodés et ayant accès à des centres de chirurgie réfractive équipés pour le Lasik.

Cornée
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Kératocône
1. Quand traiter par cross linking ?
Le cross linking du collagène cornéen a pour objectif de stabiliser un kératocône qui progresse. S’il n’existe aujourd’hui aucun consensus pour définir la progression, les bornes habituellement utilisées sont :
– une augmentation de la kératométrie maximale ≥ 1 dioptrie,
– une “myopisation” par augmentation de la cambrure cornéenne retrouvée sur une augmentation de la correction sphérique ≥ 0.5 dioptrie ou une augmentation du cylindre ≥ 1 dioptrie,
– la nécessité d’adapter une lentille de contact,
– une baisse d’acuité visuelle (mesurée et rapportée par le patient).
Si un ou plusieurs de ces critères sont remplis sur un intervalle de temps court (6 mois ou moins), cela signe en général un kératocône “plus évolutif” que sur un temps plus long (1 an, voire 2 ans) et incitera donc à traiter “plus vite”.

Cornée
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Les indications de la chirurgie réfractive reposent sur la motivation du patient et le respect des contre-indications. En 2013, il existe toujours des contre-indications absolues (kératocone, amétropie non stabilisée, collagénoses, etc.) et relatives (âge, biométrie cornéenne, degré d’amétropie, syndrome sec, etc.). Les limites de la chirurgie réfractive tiennent principalement à la crainte de déstabiliser la biomécanique cornéeene et/ou d’induire de fortes aberrations optiques.

Infectiologie
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La prise en charge des kératites herpétiques est maintenant assez systématisée, au moins dans les formes cliniques les plus courantes en pratique de ville. Nous avons vu, dans un numéro précédent de Réalités Ophtalmologiques (n° 200, février 2013), les outils thérapeutiques à disposition pour cette prise en charge. Dans le présent article, nous proposons quelques schémas thérapeutiques, destinés à simplifier la pratique quotidienne.