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DMLA : l’intérêt d’un test quantitatif de sensibilité aux contrastes

L’étude publiée en novembre par cette équipe de Boston visait à corréler les résultats d’un test fonctionnel, la sensibilité aux contrastes (qCSF), avec l’imagerie, i.e. les marqueurs OCT d’évolutivité de la DMLA intermédiaire.

Pour mémoire, le terme américain de “DMLA intermédiaire” correspond à une maculopathie liée à l’âge à un stade critique, comportant des drusen séreux (> 125 µm) et/ou des migrations pigmentaires maculaires [1]. Les résultats de l’étude suggèrent que la qCSF peut être corrélée avec le risque de progression de la DMLA intermédiaire vers l’atrophie géographique ou la DMLA néovasculaire.

DMLA
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La DMLA atrophique est une pathologie fréquente et cécitante du sujet âgé, pour laquelle un examen clinique et paraclinique permet de faire le diagnostic. Des logiciels de traitement d’images permettent de déterminer la vitesse d’évolution de la surface atrophique. Les compléments alimentaires permettent de réduire actuellement l’évolution de la maladie.
Cependant, aucun traitement n’est actuellement disponible. Des molécules sont actuellement en étude.

Glaucome
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Le domaine du glaucome profite largement des avancées permanentes des différentes sciences biotechnologiques, et cette année 2012 a ainsi été riche d’assez nombreuses nouveautés.

Revue de presse
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Thomas M, Mousa S, Mousa S. Comparative effectiveness of aflibercept for the treatment of patients with neovascular age-related macular degeneration. Clin Ophthalmol, 2013 ; 7 : 495-501.

DMLA
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En France, dans le domaine de la DMLA, l’année 2012 a certainement été marquée par l’optimisation progressive de nos schémas de traitement par Lucentis et en même temps par une expectative vis-à-vis de l’Eylea, disponible aux Etats-Unis depuis décembre 2011. Les rythmes fixes “proactifs” de traitement utilisés aux Etats-Unis pour ce dernier anti-VEGF viendront prochainement rencontrer nos habitudes de prise en charge “réactives”, très influencées par les contrôles en imagerie.

Allergologie
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C’est avec plaisir que nous nous retrouvons pour faire le point sur les publications portant sur les conjonctivites allergiques en 2012. Cette année encore, de nombreux travaux ont porté sur la physiopathologie et les potentielles cibles thérapeutiques, l’épidémiologie et la thérapeutique, avec toujours un engouement croissant pour l’immunothérapie.

L’Année ophtalmologique 2012
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Vers une prise en charge personnalisée du mélanome choroïdien
La prise en charge thérapeutique des mélanomes choroïdiens dépend de sa localisation intraoculaire, de sa taille, d’une éventuelle extériorisation extrasclérale tumorale mais aussi de l’état général du patient, de son âge, ainsi que de son statut visuel controlatéral. Nous cherchons actuellement à rendre cette prise en charge la plus personnalisée possible en l’adaptant notamment aux risques métastatiques élevés et aux complications post-radiques possibles parfois très sévères.

Sécheresse oculaire
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Glaucome et surface oculaire sont au cœur des débats, tout comme les conservateurs. Nous allons donc vous présenter quelques données récentes sur la surface oculaire et certaines publications récentes qui ont pu marquer ces derniers mois.

Infectiologie
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La prise en charge thérapeutique des uvéites sévères a récemment bénéficié du développement des biothérapies par anti-TNF. Cette classe d’immunomodulateurs a élargi l’arsenal thérapeutique des formes d’uvéites postérieures graves et réfractaires, se substituant aux immunosuppresseurs conventionnels, ainsi que celui des formes rebelles d’arthrite juvénile idiopathique avec atteinte oculaire chez l’enfant. De même, en alternative aux injections péri- ou intraoculaires de triamcinolone (Kenacort), il existe désormais un nouveau système de délivrance prolongée de dexaméthasone (Ozurdex, Allergan Inc, Irvine, CA), sous forme d’implant biodégradable injectable en intravitréen.

Contactologie
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Toujours plus de confort en lentilles rigides ! Le confort en lentilles ne doit pas être exclusif aux lentilles souples.

Bien sûr, le confort initial à la pose d’une lentille souple est supérieur à celui d’une lentille rigide. Mais les lentilles rigides ont beaucoup évolué. Et bien souvent, elles restent la meilleure solution pour nos patients.

Pour augmenter le confort de nos porteurs, nous disposons de lentilles hybrides, de lentilles rigides de dernière génération, de verres semi-scléraux (diamètres entre 12,5 mm et 15 mm) et de verres scléraux (diamètres > 15 mm).