
Les frottements oculaires sont indispensables pour l’apparition et l’évolution du kératocône : une conjecture à l’épreuve des faits
Un faisceau d’arguments logiques et de nombreuses observations cliniques suggèrent que le kératocône est une affection primitivement mécanique, caractérisée par la déformation cornéenne permanente provoquée par l’action directe (stress mécanique) et indirecte (effets biomoléculaires) de frottements oculaires excessifs en durée, intensité et fréquence.