Revues Générales

L’Année ophtalmologique 2014
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La prise en charge des pathologies de la surface oculaire continue à prendre une place croissante parmi les disciplines de l’ophtalmologie. Elle donne lieu à de nombreux programmes de recherche et au développement d’innovation diagnos-tiques ou thérapeutiques. Nous avons sélectionné quelques publications récentes et des avancées intéressantes.

L’Année ophtalmologique 2014
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Comme celui des autres spécialités médicales et chirurgicales, l’univers de la chirurgie réfractive n’est pas statique : il évolue au fil des ans, grâce aux progrès technologiques accomplis dans l’instrumentation à visée diagnostique et thérapeu-tique, mis au service de techniques chirurgicales toujours plus efficaces et plus sûres. Le Lasik occupe depuis maintenant une quinzaine d’années une place prépondérante en chirurgie réfractive, et les techniques photoablatives (Lasik et PKR) représentent toujours l’essentiel des actes effectués pour la correction des amétropies dans le plan cornéen. En 2015, la popularité de ces techniques photoablatives n’est pas (encore ?) entamée par la concurrence récemment offerte par les pro-cédures de découpe et d’extraction lenticulaire ReLEx (Refractive lenticule extraction) et SMILE (Small incision lenticule extraction).

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Pas de nouvelle couche cornéenne cette année mais des compléments d’information…
La publication l’an dernier [1] d’une nouvelle couche cornéenne a soulevé des questions dans la communauté scientifique quant à sa présence dès la naissance et chez l’animal. Dua rapporte la présence de cette couche prédescemétique sur l’analyse microscopique d’une cornée d’un enfant de 1 an ainsi que sa présence chez un jeune greffé de 9 ans pour kérato-cône (non publiés). Cette couche serait inconstamment présente chez l’animal : présente dans la cornée du cheval, pas dans celle du porc notamment. Dua rapporte également une continuité ultrastructurale de cette couche prédescemétique avec le trabéculum, sans pour l’instant d’applications ou de corrélations cliniques avec les atteintes glaucomateuses notamment [2].

L’Année ophtalmologique 2014
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En rétine médicale, et plus particulièrement dans le domaine de la DMLA, l’année 2014 a surtout été marquée en France par l’évaluation de rythmes de retraitements optimisés avec les deux anti-VEGF disponibles.
L’antibiothérapie autour des IVT qui était discutée depuis plusieurs années est progressivement marginalisée, certaines publications ayant même montré davantage d’endophtalmies sous antibiotiques.

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Comme chaque année nous voilà de retour pour une petite mise au point sur les nouvelles avancées de la recherche en ma-tière d’allergie oculaire. En effet, il s’agit d’un domaine en perpétuel avancement car, du fait de sa prévalence élevée – de 15 à 35 % dans la population mondiale des moins de 16 ans – et de ses complications potentielles (cornéennes, l’amblyopie…), les conjonctivites allergiques représentent un véritable problème de santé publique. La littérature confirme ces propos. De nombreuses nouvelles études ont été publiées en 2014 sur le sujet. Nous allons, dans cet article, essayer d’en extraire les plus pertinentes et en présenter leurs principaux résultats.

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Les connaissances et pratiques cliniques dans le domaine du glaucome n’ont pas profondément changé ces dernières années, elles évoluent néanmoins progressivement. Les conséquences fonctionnelles des glaucomes ont été, pendant longtemps, uniquement appréhendées par l’étude du champ visuel. De nombreux travaux réalisés ces dernières années se sont intéressés à l’impact des glaucomes sur les actes de la vie courante.

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L’œil sec de l’enfant est une pathologie rare. Celle-ci est souvent asymptomatique chez l’enfant, ce qui conduit malheureu-sement à un diagnostic retardé. Elle peut se présenter de façon soit isolée, soit plus rarement dans une maladie générale qu’il faudra alors identifier.

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Le glaucome de l’enfant est une pathologie rare, mais il est impératif de le dépister le plus précocement possible. Cepen-dant, les signes d’appel sont parfois difficiles à reconnaître. Les symptômes peuvent être communs en apparence comme un larmoiement persistant en l’absence d’occlusion du canal lacrymonasal, une photophobie, une myopie uni ou bilatérale progressive. Certains signes sont plus caractéristiques, comme une mégalocornée ou une buphtalmie. Devant toute suspi-cion de glaucome, un examen complet doit être réalisé avec prise de tonus oculaire et échographie avec longueur axiale.

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La toxoplasmose est une infection très fréquente : 30 % de la population mondiale serait atteinte, avec une très grande variabilité. Cependant, en dépit d’une séroprévalence très élevée, l’incidence de la toxoplasmose oculaire (TO) reste limitée à environ 2 % des patients infectés.

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