Revue de presse

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La mélatonine est régulièrement utilisée pour faciliter l’endormissement, et une étude publiée en ligne ce mois dans JAMA Ophthalmology, montre que l’usage de la cette hormone pourrait être associé à une réduction du risque de développement et de progression de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA).

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Un bref paragraphe pour changer de sujet… Alors que le sommeil est un processus physiologique essentiel qui représente habituellement environ un tiers de notre temps, des troubles du sommeil, des insomnies et des troubles du rythme circadien sont régulièrement décrits sur l’ensemble des populations de la planète [1]. Par ailleurs, “l’œil sec” est un motif de consultation fréquent en ophtalmologie. Il semble que la sécheresse oculaire soit souvent multifactorielle, caractérisée par un déséquilibre de l’homéostasie du film lacrymal [2].

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Cette étude rétrospective, réalisée au Jules Stein Eye Institute, à Los Angeles, auprès de 317 patients consécutifs atteints de maladies coronariennes, évaluait l’association entre les lésions ischémiques rétiniennes périvasculaires (RIPL) et l’infarctus du myocarde chez les patients atteints de maladies coronariennes. Ces patients, qui ont développé un infarctus du myocarde, ont été comparés à ceux qui n’ont pas eu d’infarctus du myocarde.

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La prévalence de la myopie augmente régulièrement sur la planète, en partie en raison des modifications de nos styles de vie [1]. La myopie forte est définie sur la base de la réfraction (plus de –6 dioptries) ou de la longueur axiale (plus de 26,5 mm) et les myopes forts ont une majoration du risque de complications telles que la maculopathie myopique, le décollement de rétine, le glaucome.

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Les lésions rétiniennes périphériques jouent un rôle important dans les pathologies rétiniennes chirurgicales avec en premier lieu le décollement de rétine rhegmatogène (dérivé du grec “ρηgma” ou rhegma, qui signifie rupture). Pendant des décennies, l’examen clinique parfois complété d’une analyse histologique a constitué la base de notre compréhension des lésions de la périphérie [1, 2].

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Malgré l’efficacité des anti-VEGF, la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) néovasculaire reste associée à des altérations structurelles de la rétine maculaire et à des baisses de vision qui contrastent parfois avec les résultats des études. Les contraintes liées au traitement peuvent expliquer des rythmes de traitement parfois insuffisants ou même l’arrêt des injections intravitréennes (IVT). Les innovations thérapeutiques récentes visent toutes à développer des options permettant de prolonger les intervalles entre les injections intravitréennes pour alléger le poids de la prise en charge de la maladie et optimiser les résultats fonctionnels [1, 2]. Parmi ces innovations, l’augmentation de la dose d’anti-­VEGF intravitréen est une option qui pourrait améliorer la durabilité de l’effet thérapeutique, permettant de maintenir le contrôle de la maladie avec des intervalles de dosage prolongés.

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La durée du soulèvement maculaire est classiquement considérée comme le facteur qui détermine l’urgence à réaliser la chirurgie d’un décollement de rétine rhegmatogène (DR). Pourtant, cette durée est parfois difficile à préciser par le patient et la date des premiers symptômes n’est pas toujours corrélée à la durée réelle du décollement de la rétine. D’ailleurs vis-à-vis du délai avant la chirurgie qui permet de préserver la fonction de la rétine maculaire, les études de la littérature ne sont pas toujours concordantes.

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Le décollement de rétine rhegmatogène est caractérisé par une séparation de la rétine neurosensorielle de l’épithélium pigmentaire rétinien (EP) avec un effet rapidement délétère sur les photorécepteurs de la zone concernée. Après chirurgie, les résultats visuels peuvent être très variables en fonction de la durée du soulèvement rétinien, de l’acuité visuelle initiale, de l’intégrité de la zone ellipsoïde (EZ) comme de la membrane limitante externe (ELM) [1].

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Deux articles publiés ce mois illustrent les difficultés d’un consensus pour un traitement préventif potentiel de la myopie par la lumière rouge à faible intensité (LRFI) délivrée par un laser. D’une part, une étude chinoise confirme l’intérêt potentiel de la lumière rouge pour diminuer la progression de la myopie. D’autre part, une étude américaine utilisant le système de normes ANSI montre que les appareils laser utilisés dans les conditions de la LRFI approchent ou dépassent l’exposition maximale admissible (MPE), exposant la rétine à un risque de dommages photochimiques et thermiques…