Auteur Desmettre T.

Centre de Rétine Médicale, MARQUETTE-LEZ-LILLE, Service d’Ophtalmologie, Hôpital Lariboisière, PARIS.

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La choriorétinopathie séreuse centrale (CRSC) serait la quatrième cause de baisse de vision en rétine médicale après la DMLA, le diabète et les occlusions de branches veineuses [1]. Une hyperperméabilité choroïdienne est régulièrement impliquée dans la maladie, mais la pathogénie de l’affection reste encore mal précisée…

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Les facteurs étiologiques de la DMLA restent complexes avec l’implication de facteurs génétiques importants et de facteurs environnementaux [1]. L’inflammation et le stress oxydatif sont certainement des mécanismes fondamentaux dans la pa-thogénie de la maladie. Le gène du facteur H du complément (CFH) sur le chromosome 1 et le gène LOC387715/HTRA1 sur le chromosome 10 ont été identifiés comme des éléments importants de susceptibilité de la maladie [2]. Les porteurs de certains allèles à risque de ces gènes ont un risque significativement plus élevé de DMLA : ainsi, les porteurs de l’allèle CFH Y402H ont un risque de DMLA majoré jusqu’à 11 fois, et les porteurs de l’allèle LOC387715 A69S ont un risque majoré jusqu’à 15 fois. Ces deux allèles seraient associés à plus de 80 % des formes évoluées de DMLA.

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À l’époque où la photocoagulation était le seul traitement -disponible des néovaisseaux choroïdiens de la DMLA, pour les atteintes du second œil, il était habituel d’adresser le patient en réadaptation basse vision 3 mois après la photocoagulation. Le délai de 3 mois corres-pond à la complétion progressive du scotome et à la stabilisation peut-être définitive de la lésion.

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Les auteurs de cette méta-analyse évaluent le rôle des injections intravitréennes (IVT) répétées d’anti-VEGF vis-à-vis d’une éventuelle élévation de la pression intraoculaire (PIO). Dans les études princeps MARINA et ANCHOR [1, 2], aucune élévation prolongée de la pression intraoculaire n’avait été notée durant les 2 ans du suivi (en dehors des brèves majorations de la PIO au décours immédiat des injections). Depuis, plusieurs études ont montré des augmentations plus prolongées de la PIO chez des patients atteints de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), traités de façon régulière par IVT d’anti-VEGF.

L’Année ophtalmologique 2014
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En rétine médicale, et plus particulièrement dans le domaine de la DMLA, l’année 2014 a surtout été marquée en France par l’évaluation de rythmes de retraitements optimisés avec les deux anti-VEGF disponibles.
L’antibiothérapie autour des IVT qui était discutée depuis plusieurs années est progressivement marginalisée, certaines publications ayant même montré davantage d’endophtalmies sous antibiotiques.

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Depuis la publication en 1970 de l’article de Krill et Archer sur les pseudo-histoplasmoses oculaires [1], de très nombreux travaux ont décrit des tableaux cliniques assez similaires mais sous des noms différents. C’est en 2013 que Essex, Wong, Jampol, Dowler et Bird écrivent à 5 un éditorial de 4 pages dans Retina pour regrouper, sous une nomenclature unique, la quinzaine d’affections [2]. Les auteurs distinguent, d’une part, les foyers multiples vus le plus souvent chez des sujets fé-minins avec une discrète myopie (et un épisode d’inflammation du vitré ou du segment antérieur qui a pu passer inaperçu) et, d’autre part, les foyers survenant dans un contexte de maladie générale (infection [tuberculose, brucellose, coccidiomy-cose, candidose et autres infections fungiques, histoplasmose…] ou maladie systémique [sarcoïdose…]).

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Il s’agit d’une étude rétrospective cas-témoins reprenant les dossiers d’une série consécutive de patients traités par injec-tions intravitréennes d’anti-VEGF (ranibizumab, bevacizumab, ou aflibercept), pour une variété de maladies vasculaires rétiniennes dans un centre d’exercice libéral (Wills Eye Hospital, Pennsylvanie) entre le 1er janvier 2009 et le 1er octobre 2012, ont été inclus. Le nombre total de patients et le nombre de cas d’endophtalmie ont été déterminés à partir de l’examen des codes de facturation et des dossiers administratifs de la clinique. Les cas d’endophtalmie ont été confirmés par l’examen des dossiers des patients. Les auteurs ont comparé l’incidence des endophtalmies entre une période de 28 mois, lorsque des antibiotiques topiques étaient été prescrits de manière systématique après l’IVT, et une période de 9 mois, lorsque les antibiotiques n’étaient plus prescrits. Les patients traités au cours d’une période de transition de 8 mois ont été exclus de l’étude.

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