
Anti-VEGF dans la DMLA : pas de grande différence entre les 3 !
Depuis 2006 et la publication des résultats des essais de…
CHNO des Quinze-Vingts, PARIS.
Depuis 2006 et la publication des résultats des essais de…
Alors que nous ne disposons toujours d’aucun traitement étiologique des occlusions veineuses réti-niennes, la mise sur le marché de plusieurs traitements de l’œdème maculaire les compliquant ont modifié leur prise en charge.
Après un premier anti-VEGF (ranibizumab) et un corticoïde (dexaméthasone), succédant à plusieurs années d’utilisation de traitements hors AMM (bevacizumab et triamcinolone), l’arrivée de l’aflibercept, nouvel anti-VEGF (et anti-PlGF), tout récemment remboursé pour la prise en charge de l’œdème maculaire des OBVR, modifient-ils notre prise en charge ?
Constater un épaississement rétinien lors d’une occlusion veineuse rétinienne (OVR) est habituel ; à côté de l’œdème maculaire secondaire à une rupture de la barrière hémato-rétinienne (le plus fréquent, bénéficiant maintenant de traitements spécifiquement développés dans cette indication), d’autres mécanismes peuvent être en cause. Or, les reconnaître peut conduire à une attitude thérapeutique différente.
Au cours de l’année écoulée ont été publiés de nombreux résultats des expérimentations cliniques de thérapeutiques porteuses de beaucoup d’espoir pour les patients atteints de pathologies rétiniennes cécitantes, actuellement dénuées de traitement : thérapie génique, cellules souches, prothèses rétiniennes…