- Ambiguïté de la notion de récidive
- La principale cause de récidive : la durée du suivi
- Le strabisme : une définition sémiologique
- Que nous apporte la littérature ?
- Du bon sens et de la littérature
- 1. La correction optique
- 2. L’âge
- 3. La presbytie
- 4. L’amblyopie
- 5. Les capacités binoculaires
- 6. Le tonus innervationnel de base
- 7. Les facteurs orbito-musculaires et viscoélastiques et les critères peropératoires
- Analyse de quelques formes de strabismes
- 1. L’ésotropie précoce
- 2. La microtropie décompensée ou ésotropie “essentielle”
- 3. Le sagging eye syndrome
- 4. Le strabisme divergent intermittent
- Conclusion
Le traitement d’un strabisme repose sur un triptyque thérapeutique : optique, médical (amblyopie) et chirurgical. Le résultat de ce traitement peut être insuffisant de trois manières : strabisme résiduel persistant, consécutif (inversion de l’angle) ou récidivant. C’est ce dernier cas qui nous intéresse ici. La récidive peut se faire se faire sur un mode résiduel ou consécutif.
Ambiguïté de la notion de récidive
La notion de récidive sous-entend une éventuelle guérison antérieure, mais ce terme de guérison est ambigu. Si on se réfère à la définition littérale, il s’agit de la “disparition totale des symptômes d’une maladie” (Larousse), alors la guérison du strabisme est une orthotropie à correspondance rétinienne (CR) normale. Mais cette situation est très rare. Le strabisme est le plus souvent une maladie chronique et, plutôt que de guérison, il vaudrait mieux parler[...]
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