- L’efficacité des méthodes de freination
- Effets secondaires des différentes méthodes de freination
- 1. Atropine diluée
- 2. Lentilles de contact souples
- 3. Orthokératologie de nuit
- Modélisation de la balance bénéfice/risque des méthodes de freination de la myopie
- 1. Modélisation du risque de perte de vision associé au traitement de la myopie
- 2. Avantages potentiels du contrôle de la myopie
- 3. Myopie et risque de déficience visuelle
- 4. Estimation du bénéfice d’un contrôle de la myopie
- 5. Limites des thérapies
- Conclusion
Il existe des preuves irréfutables que la prévalence de la myopie augmente dans le monde. Celle-ci devrait atteindre 50 % d’ici 2050 en l’absence de mesures d’intervention efficaces [2]. La maculopathie myopique, complication de la myopie forte, représente une cause croissante de déficience visuelle, surtout chez les jeunes adultes [3].
L’efficacité des méthodes de freination
L’ensemble des méthodes de freination a montré un ralentissement cliniquement significatif de la progression de la myopie [4]. Les principales sont :
– l’atropine topique ;
– les verres de lunettes défocalisants ;
– les lentilles de contact défocalisantes ou progressives ;
– l’orthokératologie.
En revanche, l’influence des modifications comportementales (telles que l’augmentation du temps passé à l’extérieur et la réduction du temps passé devant un écran) sur le taux de progression est moins claire [5].
Effets secondaires des différentes méthodes de freination
Si les lunettes et les règles d’hygiène comportementale ne sont pas associées à des effets secondaires notables, ce n’est pas le cas des deux autres méthodes de freination que sont l’atropine diluée[...]
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