- Kératocône : contester le consensus
- 1. Le kératocône n’est pas une ectasie de la cornée
- 2. Le kératocône n’est pas induit par une défaillance biomécanique primitive du tissu cornéen
- Des facteurs de risque de kératocône… ou de frottements oculaires ?
- Frottements oculaires : causalité ou corrélation ?
- Certaines cornées sont particulièrement vulnérables à l’effet des frottements
- Prévalence des frottements oculaires
- Position de sommeil, frottements oculaires et kératocône
- Mécanismes d’action des frottements
- Quantifier les frottements
- Stade évolutif du kératocône et type de frottements incriminés
- Latéralité et formes asymétriques entre œil droit et gauche
- Synthèse en image
- Perspectives pour une prise en charge moderne et éthique du kératocône
- Conclusion
Le kératocône est classiquement défini comme une dystrophie cornéenne d’origine inconnue mais probablement multifactorielle et pour laquelle les frottements oculaires ne constituent qu’un facteur de risque parmi d’autres [1-3].
Dans un article à paraître [4] dont les résultats principaux font l’objet d’un article de ce dossier (voir article du Dr Gomez), nous avons retrouvé une corrélation frappante entre les frottements oculaires et le kératocône, en particulier quand les frottements sont effectués avec les parties dures des doigts comme les phalanges proximales et distales. De plus, les positions de sommeil sur le ventre, la sécheresse oculaire ainsi que le temps passé sur écran augmentent significativement le risque relatif de kératocône.
Selon[...]
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