Depuis les années 1990, le traitement des mélanomes choroïdiens s’est peu modifié, reposant sur l’énucléation, pour les plus volumineux, ou sur la radiothérapie, qu’elle soit de contact ou par protonthérapie. Si ces traitements ont prouvé leur efficacité localement, le problème des effets secondaires de la radiothérapie reste entier et, en cas de localisations secondaires, les chimiothérapies conventionnelles demeurent palliatives.
Si le diagnostic repose toujours sur un faisceau d’arguments comprenant : la clinique, l’évolution, l’échographie et l’angiographie à la fluorescéine et l’ICG, les nouveaux OCT comme le swept-source permettent depuis peu de mieux analyser les formes de la tumeur et l’aspect de la choriocapillaire. L’OCT-angiographie[...]
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