- Notions générales sur la sécheresse oculaire au cours de la chirurgie réfractive
- Nouvelles approches diagnostiques
- 1. Questionnaires
- 2. PRT Test
- 3. Osmolarité
- 4. MMP-9
- 5. OQAS (Optical Quality Analysis System)
- 6. Interférométrie
- 7. Meibographie
- 8. Analyse quantitative et qualitative de la dynamique palpébrale
- 9. Évaluation quantitative et qualitative de la sécrétion meibomienne
- Nouvelles approches thérapeutiques
- 1. Substituts Lacrymaux
- 2. Anti-inflammatoires locaux
- 3. Antibiotiques par voie générale
- 4. Les sécrétagogues
- 5. Les bouchons méatiques
- 6. Alimentation, hygiène de vie, habitus
- 7. Rééducation du clignement
- 8. Lipiflow
- Conclusion
Le syndrome sec oculaire a des étiologies multiples, intriquées qui s’auto-entretiennent dans un cercle vicieux.
Cette pathologie multifactorielle, connaît aujourd’hui un regain d’intérêt, lié à plusieurs facteurs :
- sa prévalence dans la population générale est très importante, selon les études et les critères retenus, on retrouve entre 5 et 30 % de patients porteurs d’un syndrome sec, symptomatique ou non [1,2] ;
- une étude réalisée au Canada a montré que 25 % des patients consultant un optométriste, soumis à un questionnaire de confort, présentaient des signes fonctionnels de sécheresse oculaire [3] ;
- son impact sociétal est majeur, puisque selon l’étude CALLIOPE [4], 66 % des patients définissent leur sécheresse comme une gêne,[...]
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