- Les facteurs de risque identifiés
- 1. L’âge
- 2. L’état maculaire
- 3. Les antécédents familiaux et les facteurs génétiques
- 4. Le tabagisme (> 10 paquets/année)
- 5. La surcharge pondérale
- 6. Les mauvaises habitudes alimentaires
- 7. Autres
- Outils d’évaluation
- 1. Le score simplifié de sévérité AREDS [18]
- 2. Le questionnaire STARS [20]
- 3. Les tests de prédisposition génétique
- 4. Outil en ligne
La DMLA est la première cause de déficience visuelle dans nos pays industrialisés après 50 ans. Elle est d’origine multifactorielle. Ces dernières années, la lutte contre ce problème de santé publique a porté ses fruits :
- l’effet bénéfique d’une supplémentation vitaminique et par pigments maculaires (lutéine et zéaxanthine) chez des sujets à risque a été démontré, avec une diminution de 25 % du risque d’évolution vers une forme avancée de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) dans ses deux formes, atrophique et exsudative [1, 2]. L’ apport d’oméga 3 pourrait également être protecteur [3] ;
- la forme exsudative est contrôlable, au moins sur les cinq première années, depuis l’utilisation des anti-VEGF [4,5] avec un pronostic fonctionnel meilleur si le traitement est débuté tôt [6].
L’autosurveillance notamment par l’utilisation de la grille d’Amsler est efficace pour le diagnostic précoce de la forme exsudative chez les sujets à risque [7].
Nous disposons donc de moyens reconnus de médecine préventive dans la DMLA, ce qui légitime de cibler une population à risque de développer la maladie, pour lui faire profiter de conseils personnalisés et d’une surveillance adaptée.
Les facteurs de risque identifiés
1. L’âge
Vous êtes abonné(e)
IDENTIFIEZ-VOUS
Pas encore abonné(e)
INSCRIVEZ-VOUS
Inscrivez-vous gratuitement et profitez de tous les sites du groupe Performances Médicales
S'inscrire