La première pierre de cette compréhension est très certainement la revue publiée par Curtin en 1985, l’auteur allant jusqu’au bout de ce que l’examen du fond d’œil, l’angiographie à la fluorescéine et l’histologie peuvent apporter. Il est remarquable que ce rapport soit toujours régulièrement cité aujourd’hui ! L’avènement progressif de l’OCT depuis le milieu des années 1990 a surtout permis de comprendre la pathogénie des maculas bombées et des rétinoschisis pour lesquels il était difficile, avant cette époque, de déterminer s’il s’agissait d’artefacts associés à la préparation des coupes histologiques ou à des lésions existant in vivo.
On peut ainsi distinguer en premier lieu les anomalies associées à la modification de la forme du globe oculaire ou, plus particulièrement, du pôle postérieur (staphylomes, modifications de l’implantation de la papille, maculas bombées). En second lieu, on distingue les anomalies tissulaires qui en sont les conséquences (modifications choroïdiennes, ruptures de la membrane de Bruch, fovéoschisis, altérations du vitré et de l’interface…). Ces anomalies[...]
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